[topic unique] Vos souvenirs de la TV cablée , satellite, hertzien en clair ou Cryptée , etc...

[alloja]

@POLO : c’est vrai qu’il y avait deux écoles pour la mosaïque
Certains télédistributeurs comme Seditel (BW) diffusaient la mosaïque avec un framerate normal. D’autres comme Inatel (Namur) la proposait avec une actualisation d’une image par seconde…

Voici au passage un morceau de Cascade, le canal info de Teledis, le service TV de l’Association liégeoise d’électricité, diffusé un temps sur le canal 3, le canal de l’émetteur de RTBF1 depuis le Bol d’Air.


D’ailleurs je me souviens que pour l’époque sur le réseau de Liège, il y avait eu quelques « bizarreries » pour moi venant du BW : il y a eu pendant un temps deux mosaïques complètement différentes diffusés sur deux canaux différents pendant une période de transition, France 5 diffusé en journée alors que c’était bloqué par une mire chez moi, France 3 en stéréo (en mono souvent ailleurs en Wallonie), Club Téléachat puis M6 Boutique la chaine, NOS 3, RTL Allemagne et puis les canaux partagés : NOS 1/Grèce, RTM/TRT, ERT/RTP qui différaient en fonction des jours de la semaine…

[Tskynet]

idéatel dans le Borinage avait une mosaïque mais elle est arrivée très tard et voo l'a supprimé dés son rachat.

A noter que je n'ai aucune vidéo de cette mosaïque si une bonne âme la possède il est le bienvenu.

[stpierre]

Ne pas oublier que câblo-opérateurs avaient de telles accointances avec le politique que l'on hésitait pas à faire payer une amende à ceux qui installaient une parabole !
On hésitait pas à envoyer des policiers pour constater !

[pascal28]

A part ça, les pouvoirs publics œuvrent pour notre bien...

[Tskynet]

Ne pas oublier que câblo-opérateurs avaient de telles accointances avec le politique que l'on hésitait pas à faire payer une amende à ceux qui installaient une parabole !
On hésitait pas à envoyer des policiers pour constater !

Pendant un moment RTL-TVI émmétait en PAL/SMARTCRYPT sur le sat telecom 2B pour alimenter les têtes de réseaux câblés et ceux-ci décryptait le signal pour l'envoyer en clair sur le câble.Et il ont mis les cablos au pied du mur soit il restait leaders du câble pour empêcher M6 d'arriver ou il passait en clair sur le sat et ceux-ci on pliés pour que la population ne passe pas sur le satellite.A l'époque évidement avant l'explosion du sat et l'arrivée du numérique.

alors...

J'aime bien l'idée de crypter les films sur YouTube pour ne pas se faire repérer par l’algorithme. En revanche, il va falloir nous fournir les décodeurs syster

Voici un extrait de fast and furious 9 le tout nouveau que je possède déjà en blu-ray j'ai crypté l'image en Nagravision comme canal + France le diffusé sur le sat telecom 2B c'est à dire image brouillée mais son en stereo et en clair pour que les abonnés puissent le déchiffrer.

[pascal28]

Voici un extrait de fast and furious 9 le tout nouveau que je possède déjà en blu-ray j'ai crypté l'image en Nagravision comme canal + France le diffusé sur le sat telecom 2B c'est à dire image brouillée mais son en stereo et en clair pour que les abonnés puissent le déchiffrer.

Il ne me reste plus qu'à vérifer si j'ai les droits sur la puce de la clé de mon décodeur syster. Sinon, je ferai réactiver les droits en faisant 36 15 code Canal +

[Tskynet]

et oui ou je t’envoie les droits.

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Il y a déjà 10 ans RTL passait en HD !



souvenirs...




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Quand il y avait la mire de la RTBF en matinée après il y avait le jingle d'entrée nous voici en 1995.




le temps passe...

[Tskynet]

Déjà 10 ans que ciné-cinéma nous quittés



souvenirs...




Bonjour






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Déja 11 ans Belgacom TV et le canal Zoom.




Et oui...

[Criscoco]

Alors niveau souvenirs de la télé câblé j'ai souvent perdu beaucoup de temps devant la fameuse Mosaïque

Merci pour cette vidéo, j'en ai aussi passé du temps derrière cette mosaïque Teledis

[Criscoco]

Offre d'un autre temps...


L'évasion en palette

Télédis a baptisé sa nouvelle offre numérique «La palette évasion» pour la distinguer du Bouquet numérique de Canal.
Elle se répartit en 5 «bulles» plus une «offerte». La première bulle au choix, plus la bulle offerte, coûte 12 €/mois. 4 €/mois par bulle supplémentaire. Comptez aussi 80 €/mois pour la caution du décodeur (gratuit si domiciliation, et inutile si vous en possédez déjà un) et 20 € de frais d'activation.

Bulle Rosso: Rai 1, 2 et 3, Rai Sport, Italia 1, Canale 5 et Rete 4.

Bulle Azur: MTV Fr., RTBF Sat, TV 5, France 5, Arte, MCM.

Bulle Sable: TRT 1, 2, 3 et 4, C. Algérie, RTM 1, 2 M Maroc, TV 7 et Al Jazeera.

Bulle Green: CNN, CNBC Euro, BBC 1 et 2, BBC News.

Bulle Mandarine: NOS 1, 2 et 3, ARD, ZDF, DSF, RTL +.

Bulle Blanche («offerte»): Canvas, Euronews (avec décrochage KA 3), TVE, ERT, Liberty TV, RTPI, TVP.

N.B.: l'offre analogique (12€/mois) reste disponible.

© La Libre Belgique 2004

https://www.lalibre.be/regions/liege/20 ... Z34N4RFE4/

[Tskynet]

[Criscoco]

DES BOUQUETS BIENTOT EN BELGIQUE

Publié le 5/04/1996 à 00:00 Temps de lecture: 7 min
Des bouquets bientôt en Belgique

Certains soirs, on fulmine. Assis face à son petit écran désolant, on en est à son dixième zapping frénétique dans la trentaine de programmes proposés simultanément. Qui une émission de divertissement étrangement calquée sur celle servie par la chaîne concurrente. Qui un film à l'attrait sévèrement émoussé par les rediffusions. Qui un reportage sur un sujet dans l'air du temps que d'autres télés ont déjà examiné sous tous les angles. Qui un match de foot ou du sport en continu,... encore faut-il être un fondu de l'effort physique pour s'y arrêter. L'uniformisation d'une offre standardisée transforme parfois en bédouin du désert télé le plus conciliant des zappeurs. Sans compter les désagréments techniques tels que le « chevauchement de chaînes» ou la pernicieuse influence de la météo sur la réception des images...



Marre ! M'en vais l'empoigner et te la pulvériser sur le trottoir, cette infâme ! Stoooop ! On se calme, rien n'est perdu, paraît-il. Continuez à ronger votre télécommande pendant quelques mois et, tel Zorro surgissant de la nuit audiovisuelle, le numérique viendra vous réconcilier avec votre petit écran. Le quoi ? Le nu-mé-ri-que, ce nouveau mode de transmission des images par conversion des signaux audio et vidéo en données binaires, avec une qualité du son (nicam) et de l'image optimale.

Mieux : par «compression» de son codage évitant les infos redondantes, le numérique occupe moins de place sur un canal de diffusion. Là où la bonne vieille transmission analogique en vigueur depuis des décennies nécessite pour le transport de ses données tout un canal, la transmission numérique (comprimée) n'occuperait qu'un huitième de celui-ci. D'où l'actuelle équation à la mode : un canal analogique égale huit chaînes numériques. Un indice multiplicateur qui aurait la vertu d'élargir fortement l'horizon du paysage audiovisuel, en Belgique comme ailleurs.

Dès le 27 avril prochain, la France découvrira la télévision numérique grâce au « bouquet» de chaînes lancé et commercialisé par Canal +. Sous le label Canalsatellite, ce bouquet rassemble

Eurosport, Planète, Canal J, Canal Jimmy, MCM, TMC, Paris Première, Cinécinéma et Cinécinéfil... que les téléspectateurs français, dûment équipés d'un décodeur-décompresseur (loué ou acheté), pourront recevoir par satellite ou par le câble. Attention : il va de soi que l'ami numérique n'est pas un miraculeux messie désintéressé annoncé par la religion cathodique mais bien un mercenaire n'offrant ses services que contre rétribution, sous forme d'abonnement.

L'OFFRE BELGE

EN GRANDE NÉGOCIATION

En Belgique se prépare aussi la naissance, prévue pour fin 96-début 97, d'une offre de chaînes numériques en «bouquet», également ficelée par les soins de Canal + («Le Soir» du 4 mars 96). Pour voir quoi et à quel prix (pour le comment, voir article ci-dessous) ? Si les négociations avec les télédistributeurs belges aboutissent, confesse Patrick Blocry, directeur du marketing et de la communication, Canal + Belgique proposera bientôt un bouquet de huit chaînes numériques belges installé sur un canal pris sur le câble. Ce «bouquet» comprendrait : en 1) Canal + Belgique, évidemment; en 2 et 3) des versions multiplexées de Canal (agencement des horaires et des grilles de programmes différent); en 4) la RTBF version numérique; en 5) la chaîne publique y diffuserait 21 ou y amortirait ses productions propres; en 6) Filmnet, si la chaîne à péage flamande veut diffuser son signal en Communauté française; en 7) un «Electronic program guide», assistance électronique pour s'informer sur les programmes; 8) une «chaîne civique » à créer (piste privilégiée), qui reprendrait les programmes des télévisions communautaires voire des débats parlementaires.

Et c'est tout ? Ce ne sera effectivement pas suffisamment attractif, poursuit l'homme de marketing, pour toucher le plus large public. On accentuera donc l'attractivité en ajoutant à cette offre «basique» un grand nombre de chaînes thématiques du bouquet «Canalsatellite» français (la chaîne pour enfants «Canal J», la chaîne du documentaire «Planète », etc). Ceux qui voudront accéder à cette nouvelle offre de chaînes devront payer un abonnement et se munir d'un décodeur.

IL FAUDRA PAYER

POUR VOIR

Les formules payantes seront variables. Canal + continuera d'exister en tant que tel. Le téléspectateur pourra s'abonner à la chaîne cryptée sans s'abonner au nouveau bouquet numérique. S'abonner aux deux ou ne payer que pour l'éventail de nouvelles chaînes. L'abonnement au bouquet devrait osciller entre un tarif préférentiel pour les abonnés de Canal + de 1.000 F à un abonnement de 1.500 F pour les autres téléspectateurs.

Dans un second temps, les promoteurs du numérique indiquent qu'au-delà d'un choix de programmes (payants) élargi, ce sera la porte ouverte à de nouveaux services interactifs qui apparaîtront dans la foulée. Tels qu'une chaîne informatique dont les passionnés téléchargeront les logiciels, des chaînes de vidéo à la demande et de films de cinéma très récents payables à la séance, des chaînes de matches de foot... Dans tous les cas, il faudra payer pour voir tout ou partie (pay per view). Par abonnement, avec la carte bancaire à insérer dans le décodeur ou avec un système de crédit symbolisé par des jetons...

En prévision de ce développement de l'offre numérique, Canal + Belgique fourbit ses armes en négociant avec les télédistributeurs belges souhaitant embarquer dans l'aventure en ordre cohérent. Ceux-ci voient dans cette augmentation de leur offre de programmes une nouvelle source complémentaire de financement de nature à amortir la modernisation de leurs réseaux mais aussi un moyen efficace d'anesthésier l'offre de chaînes numériques par satellite qui, si elles ne sont pas proposées aux abonnés par les télédistributeurs, seront captables via une antenne parabolique.

En Flandre également, s'orchestrent de grandes manoeuvres, plus avancées que du côté francophone. Le projet «Filmnet/ Multichoice» aurait trouvé un terrain d'entente avec Intermixt, l'association qui regroupe les intercommunales mixtes flamandes de télédistribution. Courant 96 - au plus tôt -, une cinquantaine de chaînes numériques devraient fleurir en bouquets dans les petits écrans flamands.

JUNGLE AUDIOVISUELLE

POUR TARZAN-ZAPPEUR ?

Alors, va-t-on réellement vers une luxuriante jungle de plus de deux cents nouvelles chaînes à l'horizon 2000 ? Patrick Blocry met quelques bémols à cette prédiction dont les médias font leurs choux gras. C'est un calcul mathématique un peu trop rapide, explique-t-il. En avançant en Belgique le chiffre de l'arrivée de plus de deux cents chaînes de télévision, on tient un raisonnement à l'envers en se disant que sur un canal diffusant actuellement une chaîne analogique traditionnelle (RTBF, TF 1, France 2, etc), il sera possible d'en faire passer huit thématiques en numérique. En estimant que chaque télédistributeur belge propose en moyenne et en analogique environ trente chaînes à ses abonnés et que le multiplicateur idéal est huit, on en conclut qu'il y a possibilité chez nous de recevoir 240 chaînes numériques dans un proche avenir sans modification technique des réseaux existants. En théorie, c'est possible. En pratique, de manière plus réaliste, un télédistributeur performant proposant actuellement 35 chaînes « analogiques» sacrifiera trois canaux au transport de chaînes numériques. Mais, à eux trois, ces canaux pourront véhiculer jusqu'à 24 chaînes. Le plus simplement du monde, il aura fait passer son offre de 35 à 56 chaînes.

Ainsi cohabiteront sur un même réseau des chaînes « analogiques» et des chaînes «numériques». Progressivement la diffusion numérique prendra le pas sur l'analogique mais la transition sera très douce. Si on se projette en 2030, poursuit Blocry, les 240 canaux disponibles en Communauté française seront-ils occupés ? Je n'en mettrais pas ma main au feu.

CHERCHE PROGRAMMES

DÉSESPÉRÉMENT

En effet, l'évolution vers le numérique aura un impact énorme sur le marché audiovisuel, ses équilibres ainsi que ses ordres de valeurs. On va passer d'un modèle audiovisuel où les canaux étaient chers et limités en nombre à un système dans lequel le nombre de canaux sera très grand et où les programmes pour remplir tous ces canaux vont valoir de plus en plus cher, estime Patrick Blocry. De fait, il risque d'y avoir rapidement pénurie de programmesnouveaux.

Bienheureux, dès lors, les détenteurs de catalogues de films et d'émissions, mais aussi les maisons de production qui sauront faire exploser leurs offres de programmes spécialisés pour le numérique. Notre poste de télévision devrait bientôt ressembler à une librairie aux présentoirs chargés de magazines payants et spécialisés. Du porno au télé-achat, du culturel à l'animalier, du policier au sport moteur, de la musique au cinéma, sans oublier les jeux... Pour sûr, l'eldorado numérique ouvre des perspectives (à la créativité comme à la médiocrité) et l'offre initiée par Canal + ne devrait pas rester longtemps sans concurrente directe (pourquoi pas des bouquets de programmes que pourraient composer ensemble TF 1 et France Télévision ?). Et tout ce qui n'est pas proposé sur le câble, faute d'accord avec les télédistributeurs, par exemple, pourra toujours être disponible sur satellite. D'où l'arrivée attendue de bouquets numériques diffusés depuis d'autres pays européens, voire depuis les quatre coins du monde. En théorie du moins...


FERNAND LETIST

https://www.lesoir.be/art/d-19960405-W3 ... %25A9rique

[Tskynet]

cette fois c'est TELE MB

histoire:

1985 : création de l’ASBL TELEVISION LOCALE MONS-BORINAGE.

Agréation par le Ministre-Président de la Communauté Française avec promesse de subvention.

Maître d’œuvre principal: le Club - Maison de la Presse du Hainaut à Mons (ASBL).

Les fondateurs sont Maurice WILLAM, qui sera président jusqu’à fin 2001 et Jean-Claude MARECHAL, qui prend rapidement le titre d'administrateur délégué de la Télévision locale de Mons.





Novembre 86: 1ere émission sur le derby de football RAEC-MONS- FRANCS BORAINS

(1h 30 d’émission entièrement réalisée par des bénévoles et montée dans les studios de l’IHECS à Mons).


Février 87: Télé MB s’installe dans une partie des locaux de la Maison de la Culture de Mons (classes d’une école communale désaffectée).

Les bureaux administratifs s’installent à la Maison de la Presse (siège social jusqu’en mars 2000) ; réalisation d’émissions mensuelles d’une heure et apport d’aides financières nouvelles pour l’emploi et le financement.


Octobre 88: création d’une nouvelle grille avec un journal télévisé trois fois par semaine (lundi, mercredi et vendredi - +ou- 20’ ),

accompagné d’un magazine spécifique (+ou- 15’), programme multidiffusé (jusqu’à 1h du matin, rediffusion du programme).

A cette époque, l’équipe de Télé MB compte 10 permanents.


Janvier 1992 : sur proposition du ministre montois Elio DI RUPO, TELE MB s’établira dans l’ancienne caserne Major Sabbe à Mons devenue le Carré des Arts.

Cet imposant immeuble, situé au centre de Mons (rue des Sœurs noires, 4 A) a été racheté par la Communauté française à la Défense nationale.

Pour cet aménagement, Télé MB disposera d’une subvention totale de 85 millions fb (2.107.000 €) de la Communauté française.


fin 1999 : TELE MB est assurée d’un refinancement annuel (15 millions FB, 371.800 €) provenant de la région de Mons ( intercommunales énergétiques)

et des câblés pour assumer sa présence au Carré des Arts (fonctionnement et équipement par emprunt).


avril-mai 2000 : installation définitive au Carré des Arts. A cette époque, le personnel de TELE MB s’élève à 20 personnes.


septembre-octobre 2000 : premiers directs de TELE MB dans le cadre de la campagne électorale (débats).


25 novembre 2000 : inauguration officielle de TELE MB Carré des Arts.


10 juin 2000 : pour la première fois de son histoire, TELE MB diffuse la ducasse de Mons en direct, grâce à une collaboration avec la RTBF.


24 avril 2002 : élection d’un nouveau président de TELE MB, M. Philippe REYNAERT, par ailleurs directeur de la société Wallimage.

Il succède à Maurice WILLAM, le président fondateur, décédé en janvier 2002..


septembre 2002 : vu la présence de deux de ses clubs en Division nationale (football et basket), TELE MB développe sensiblement ses émissions sportives (4 à 5 par semaine).


avril 2003 : TV-ONE (Rossel) devient la régie publicitaire nationale de TELE MB.


2004 : chaque samedi soir, pendant le championnat, TELE MB diffuse en direct un match de basket du championnat belge de première division.


juin 2006 : la ducasse de Mons est diffusée sur les autres TV locales, à partir du'une liaison satellite. Le savoir-faire des équipes de la chaîne locale se développe.


décembre 2006 : Après la privatisation du câble, TELE MB est diffusé sur BELGACOM TV, en plus du câble de la télédistribution (IDEATEL,IGEHO).


mai 2007 : renouvellement du Conseil d’administration de TELE MB. Il comporte 13 membres effectifs et un membre avec voix consultative: 7 représentants du privé (associations) et 6 représentants du public (communes) . Son président est M. Guy ROLAND (PS) et ses deux vice-présidents Mme Jacqueline GALANT (MR) et M. Henri CAMMARATA (CDH).

1er octobre 2007: lancement du tout nouveau site web de la chaîne qui fait la part belle aux vidéos Infos et magazines.



septembre 2013: l'arrivée d'un nouveau site internet coïncide avec un changement de direction à la tête de Télé MB en la personne de David FLAMENT, journaliste de presse écrite et... ancien stagiaire de la chaîne.



Printemps 2014 Dans le cadre de la toute prochaine manifestation qui verra Mons consacrée capitale Culturelle de Culture, Télé MB lance une émission interactive autour de l'actualité culturelle de la région de Mons. Pendant plus d'un an, ce sera le rendez-vous hebdomadaire audiovisuel de la manifestation. En octobre, les équipes proposent un direct de la conférence de presse de Mons, Capitale Culturelle Européenne. Le 25 janvier 2015, Télé MB s'associe avec la RTBF et France 3 pour la couverture de la soirée d'ouverture de l'opération.



Octobre 2015 Un audit financier mené à la demande de la direction et du conseil d'administration révèle une situation financière très fragile. La chaine doit être refinancée et restructurée, grâce à l'injection de fonds provenant des communes de l'arrondissement de Mons-Borinage et de dispositions prises aux niveaux fédéral et régional. L'organigramme s'en retrouve profondément modifié.



Décembre 2016 Transfer devient la nouvelle régie publicitaire du réseaux des TVL de la Fédération Wallonie-Bruxelles.



Mars 2017 Les 12 TVL wallonnes s'unissent autour d'un projet commun: un journal des région quotidien en direct baptisé Vivre Ici. Télé MB diffuse donc désormais trois JT par jour: les infos locales à 18h, bien sûr mais aussi Vivre Ici et sa version traduite en langue des signes.



Juillet 2017 Au moment de fêter ses trente ans dans la cour du Carré des Arts, Télé MB prépare un plan d'investissement important pour remettre son matériel de captation et de diffusion à niveau. Le projet de chaîne, défini en 2013 avec la nouvelle direction, peut se mettre en route autour de ses quatre axes stratégiques: ancrer la télévision dans son temps, développer ses communautés, cultiver sa proximité et assurer son autonomie financière.



21 mars 2018 Le Printemps de Télé MB s'annonce sur antenne avec la mise en image de studios revus de fond en comble: nouveaux décors, nouvelles infrastructures informatiques, nouvelles caméras, installation d'un MAMM trafic commun aux 11 TVL wallonnes, nouveaux moyens de captation en extérieur, etc. Des investissements qui vont de pair avec une santé financière désormais retrouvée.


ZONE DE DIFFUSION


La zone de couverture de Télé MB, telle qu’autorisée par le décret de la Communauté française,

correspond à l'arrondissement de Mons, soit une population d’environ 240.000 habitants.

Un nouveau décret de l’audiovisuel (février 2003) autorise toutefois les Télévisions locales à être diffusée (mais non produire) sur d’autres zones.


Les programmes sont reçus par les abonnés du câble de la télédistribution et de Belgacom TV. Depuis le 1er octobre 2007, une bonne partie des programmes de la chaîne peut être vue sur le site web.

En mai 2018, Proximus et Orange seront les premiers distributeurs de service à assurer la diffusion de Télé MB sur tout le territoire de la Communauté Française.



TRANSMISSION A L’ANTENNE


Pour le câble, les programmes de Télé MB sont depuis février 2000 acheminés par fibre optique

du Carré des Arts à l’antenne du câblo-opérateur à Eugies-Frameries(8 km) .


La fibre optique transmettant le signal jusqu'à l'antenne permet le direct.

Le direct a été inauguré avec les débats électoraux de septembre 2000.

Quant à Belgacom TV, elle a installé un matériel de diffusion à partir des locaux techniques de la Chaîne.


Depuis 2001, TELE MB dispose, pour un usage interne, d’une seconde fibre optique reliant la Grand-Place de Mons au Carré des Arts.

Cette liaison permet la retransmission en direct d’événements se produisant au centre de Mons, dont la célèbre ducasse de la Trinité (Doudou).


En 2003, TELE MB s’est équipée d’une antenne parabolique pour recevoir des signaux du satellite comme des matches de basket et d’autres grands évènements produits par d’autres TV locales (Ducasse d’Ath, Laetare de Stavelot etc.)


LA PROGRAMMATION DE TELE MB


Actuellement, Télé MB produit près de 6 à 7 heures de programmes par semaine.


L'accent est mis sur l'information régionale (Les Infos ) et le sport (Atout Sports) sans oublier des magazines divers et autres émissions spéciales.


TELE MB coproduit aussi des émissions avec d’autres TV locales (comme l’émission « Profils »Dialogue Hainaut , l'Agenda culturel du Hainaut )

et s’est inscrite dans plusieurs projets INTERREG.


STRUCTURE INSTITUTIONNELLE


Association Sans But Lucratif : lois de 1921 et 2002,

telle est la réglementation (Communauté Française de Belgique) en vigueur. Avec :


une Assemblée générale des membres associés représentant les divers courants idéologiques et culturels régionaux

un Conseil d'Administration représentant les divers courants idéologiques et culturels régionaux .





Direction générale : David FLAMENT

Rédacteur en chef : Pierre Jean BURRION

Directeur technique : Michel CHIACCHIETTA

Responsable des programmes : Emmanuel VILAIN

Assistante de Direction: Marjorie COPPEE

Déléguée commerciale : Nathalie MOTTE

TELE MB : https://www.telemb.be/

TELE MB le flux en direct c'est ici ====>>https://telemb.fcst.tv/player/embed/3177890

Voila.

[Tskynet]

Bon j'ai NETFLIX jusque la rien de bien anormal mais je sais enregistrer via une carte HDMI Recorder avec une entré IN et une sortie analogique hélas mais déjà mieux que rien.

voici netflix en clair...



et puis je me suis amusé avec le même extrait que ci-dessus à la crypter en PAL/videocrypt .



A noter qu'il existe sous licences payantes des logiciels tels que Anystream ou dvdfab-stream qui permettent de télécharger des films complet sur disney + et netflix et bien d'autres... https://www.redfox.bz/anystream.html

[Tskynet]

Ça me fait repenser aux salons de la Hi-Fi dans les années 70-80 organisés au Palais des Congrès de Liège. J'étais jeune sans le sous et j'allais chaques années rêver en regardant les nouveautés de l'époque. La bataille des standards video (VHS/betamax/V2000), le CD, le VCD, le laserdisk, les videos projecteur Barco, la quadriphonie, les platines à bras tangentiel B&O et Pioneer, les auto-radios, l'arrivée de l'auto-reverse, la fin des cassettes 8-pistes, les cassettes Chrome/Metal, les systèmes HP controlés Bose, ...

Et puis il y avait le magasin Maréchal, un peu plus loin que Caroline Musique.

Aujourd'hui, c'est un hobby de boomer puriste tout ça. Les djeuns, ils écoutent leur musique demerde sur des brols bluetooth de merde. Ils savent même pas c'est quoi la stéréo

Et oui la technologie à l'époque c'était terrible

le laser disc



mais quand j'ai acheté mais premier magnétoscope lecteur/enregistreur VHS HQ c’était la marque Phillips je l'avais acheté au magasin carrefour maintenant dit cora à Hornu pour la somme à l'époque de 45.000 Francs. ouffff ça coûtait la peau des

[solar10]

Gamin, je devais avoir 5-6 ans, on avait un Philips EL3549 à la maison.

https://www.canuckaudiomart.com/details ... es/391859/

[alloja]

Y a un B77 chez mes parents (d’ailleurs je pense que mon père aussi a été quelques fois au Palais des Congrès à Liège pour tâter de la Hi-Fi)

[Criscoco]

Et puis il y avait le magasin Maréchal, un peu plus loin que Caroline Musique.

J'y ai acheté mon matos quand j'avais 18 ans (chez Maréchal).
La Fnac et surtout Media Markt a tué ce genre de commerce

[Tskynet]

j'ai retrouvé une émission de test de codage/clair de canal +





un reportage avec pierre lescure retour il y a longtemps....



source : INA

[Mackguil]

ATTENTION

SOUVENIRS...

Qui se souvient de ceci ?

Ah oui, un v2000.