Anderlecht et les antennes
Message posté… : 21 janv. 2018, 17:52
Durant l’année 2017, la commune a durci le ton en mettant la pression sur les propriétaires.
C’est un cheval de bataille de l’échevin de l’Urbanisme à Anderlecht Gaëtan Van Goidsenhoven (MR) : la lutte contre les antennes paraboliques. Et durant l’année 2017, l’entité a durci le ton en mettant la pression sur les propriétaires.
Ainsi, 457 paraboles ont été enlevées et 155 sanctions ont été infligées. "Ces antennes ne peuvent rester en surface car elles sont potentiellement dangereuses si elles tombent sur la voirie, mais également pour des raisons esthétiques", explique Gaëtan Van Goidsenhoven. "Il s’agit d’un combat permanent car nous avons affaire à des propriétaires ou locataires qui sont parfois récalcitrants malgré la mise en demeure. D’autres antennes peuvent également être parfois installées par de nouveaux locataires en provenance d’autres communes et qui ignorent la politique en la matière."
Mais outre la répression, l’échevin espère un peu plus de proactivité de la part des personnes qui se trouvent en infraction. "On voudrait que les personnes enlèvent spontanément leurs antennes, sans attendre l’injonction de l’enlever", ajoute-t-il.
Concrètement, une mise en demeure est envoyée aux propriétaires qui laissent des antennes paraboliques sur leurs façades. En cas de non-suivi, une amende est envoyée. "Il existe aujourd’hui d’autres moyens technologiques permettant d’avoir accès à des chaînes internationales. De plus, si une antenne reste indispensable pour une quelconque raison, elle peut toujours être placée à l’arrière du bâtiment", conclut-il.
En cas de mise en demeure, le propriétaire a 30 jours pour procéder à l’enlèvement. En cas de non-réaction, une sanction administrative communale de 150 € est infligée, voire plus en cas de nouvelle désobéissance.
Source : dh.net
... c'est sure que à l'arrière du bâtiment, il va surement mieux capter
C’est un cheval de bataille de l’échevin de l’Urbanisme à Anderlecht Gaëtan Van Goidsenhoven (MR) : la lutte contre les antennes paraboliques. Et durant l’année 2017, l’entité a durci le ton en mettant la pression sur les propriétaires.
Ainsi, 457 paraboles ont été enlevées et 155 sanctions ont été infligées. "Ces antennes ne peuvent rester en surface car elles sont potentiellement dangereuses si elles tombent sur la voirie, mais également pour des raisons esthétiques", explique Gaëtan Van Goidsenhoven. "Il s’agit d’un combat permanent car nous avons affaire à des propriétaires ou locataires qui sont parfois récalcitrants malgré la mise en demeure. D’autres antennes peuvent également être parfois installées par de nouveaux locataires en provenance d’autres communes et qui ignorent la politique en la matière."
Mais outre la répression, l’échevin espère un peu plus de proactivité de la part des personnes qui se trouvent en infraction. "On voudrait que les personnes enlèvent spontanément leurs antennes, sans attendre l’injonction de l’enlever", ajoute-t-il.
Concrètement, une mise en demeure est envoyée aux propriétaires qui laissent des antennes paraboliques sur leurs façades. En cas de non-suivi, une amende est envoyée. "Il existe aujourd’hui d’autres moyens technologiques permettant d’avoir accès à des chaînes internationales. De plus, si une antenne reste indispensable pour une quelconque raison, elle peut toujours être placée à l’arrière du bâtiment", conclut-il.
En cas de mise en demeure, le propriétaire a 30 jours pour procéder à l’enlèvement. En cas de non-réaction, une sanction administrative communale de 150 € est infligée, voire plus en cas de nouvelle désobéissance.
Source : dh.net
... c'est sure que à l'arrière du bâtiment, il va surement mieux capter